Je voulais préparer sur Linuxédu-Québec un texte sur la mécompréhension de la GRICS du rôle qu'elle a et qu'elle pourrait jouer par rapport au logiciel libre.
Hors, je vois que Louis Desjardins, président du C.E lors de l'implantation de Linux à l'école la Magdeleine, a commis un excellent texte (disponible sur le carnet de Michel Dumais) qui fait à mon avis un tour complet de la question.
On l'a vu, la GRICS a misé sur la partie "coûts" du rapport Wybo pour se défendre (or, ce n'est pas qu'une question de coûts comme je le disais). Il y a plus derrière tout ça, la GRICS serait un organisme idéal dans un monde idéal pour travailler en logiciel libre. Or, il y a toute une histoire de partenariats et d'habitudes derrière elle qui semble l'empêcher d'y voir clair et d'embrasser un nouveau mode de fonctionnement pour passer de vendeur de logiciels propriétaires sous licence à membre d'une communauté de développement en logiciels libres et fournisseur de services en ce domaine. Et le texte de Louis résume bien mes idées sur le pourquoi du comment.