Depuis quelques semaines, j'ai beaucoup réfléchi, lentement, à ce qui me manquait dans les différents réseaux sociaux. Un certain sentiment d'éparpillement, de saupoudrage. On dit beaucoup de choses, pour lesquelles des gens répliquent parfois. Ça donne lieu à de belles conversations, mais rarement beaucoup plus.
D'un autre côté, il ne faut pas négliger le fait que ces médias sociaux sont très efficaces pour le partage rapide d'information. J'y suis actif depuis un bon bout de temps, mais j'y ai délaissé mon propre blogue par effet de bord. Mon dernier post date de 2010, c'est tout dire. Même pas un billet par année !
Puis, sur un média social, j'ai vu mon ami Gilles y annoncer ses semaineries, et un souhait pour 2013.
que mes amis ayant abandonné l'exercice de l'écriture bloguesque s'y remettent.
Voilà Gilles, c'est chose faite. J'ai également vu qu'un de mes autres anciens collègues Pierre s'est fait brasser par ça et s'y est remis lui aussi !
En même temps, l'idée des semaineries est très intéressante. Ça me fait penser à ce qu'un de mes contacts dans mon nouveau monde corporatif (Thomas Cagley) a débuté, le 365 Day Picture and Process Improvement Project.
Maintenant, il me reste un truc sur lequel je réfléchis encore. Je poste souvent en français et anglais sur les médias sociaux, résultat de nombreux contacts professionnels à l'extérieur du Québec. Les billets en anglais ou bilingues suivront-ils ? Ce que Sylvain Carle fait depuis plusieurs années semble une voie intéressante. C'est probablement plus une question de récepteur que d'émetteur. Après tout, je suis chez moi ici :-).